(R)Atelier du Pegase fringant : le blog de Jean-Baptiste Happe.
Poésie Mag : le nouveau site d’Eric Dubois.
Je découvre : le blog de Bruno Sourdin : Syncopes : Poésie, collage, mail art. avec une sensibilité particulière pour la poésie beatnik (Ferlinguetti, Pelieu d’une part, pour les évènements artistiques en Normandie, d’autre part.
Nouveau site : Passager clandestin de la pensée, animé par Alain Roussel. Ouverture sur Jean-Pierre Chambon, Lionel Bourg, Laurent Albarracin et ses éditions Le Cadran lignés. A suivre.
La Toile de l’Un d’Alain Boudet, pour faire vivre la poésie à l’école, au collège et à la ville. Notes critiques sur les récents Polders ...
Site rénové : celui de Laurent Deheppe, ex- Mille lieux, devenu La Flute en l’os, en hommage à Simonomis.
Editions Rhubarbe : Alain Kewes, rédacteur à Décharge et membre du comité de lecture de Polder, est aussi éditeur.
Adresse renouvelée ... ! Gros textes : les éditions d’Yves Artufel, coéditeur de la collection Polder.
Le feu central, de François-Xavier Farine succède au site Poebzine .
La voix des mots : les rendez-vous de Tempoésie à Dijon, par Yves-Jacques Bouin, chroniqueur à Décharge.
Le Printemps des poètes : vers une poésie populaire.
Nouvelle adresse pour Les carnets du dessert de lune de Jean-Louis Massot et de ses éditions.
D’ailleurs : animé depuis Leeds par Valérie Harkness. Ouvert aux poètes francophiles d’ailleurs et aux poètes étrangers vivant en France.
Poezibao : le journal permanent de la poésie par Florence Trocmé, et son espace Scoop.it. Et on oublie pas les commentaires de Florence Trocmé sur son site personnel du Flottoir.
Terres de femmes : le blog critique d’Angèle Paoli.
Cahier critique de poésie : publié par le Centre international de poésie de Marseille.
Nouvelle revue web : realpoetik, où œuvrent conjointement Grégoire Damon et Sammy Sapin. Poésie figurative, voire narrative.
L’Alamblog : une autre histoire de la littérature.
Terre à ciel, animé par Cécile Guivarch et son équipe.
la Pierre et le Sel. Site de Pierre Kobel. On y trouve en particulier un récent entretien avec Jacques Morin
Le Petit jour : blog ouvert début 2015 par François Sannier / François Reinnaz. Actualité : Réponse de François Sannier à la question : Qu’attendez-vous des poètes ?
Chroniques de la Luxiotte, par Alain Jean-André : livres, littérature, art contemporain. A propos de notre site, note récente dans les Brèves littéraires.
La Lune bleue : les éditions créées par la poète Lydia Padellec.
Contre-allées, le blog de la revue du même nom.
remue.net, le site historique de François Bon, une référence pour l’information littéraire.
Le blog critique de Patrice Maltaverne en complément au poézine Traction-Brabant. Mais pour les revues, consulter l’autre blog : c’est vous parce que c’est bien.
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p.i.sage intérieur : l’actualité de la maison d’édition dirigée par Sophie Desseigne.
Ahoui, la revue plus ou moins barrée d’Yves Barré.
Le blog de Pierre Campion pour les chroniques de Laurent Albarracin.
Bleu de paille, le blog de Jean-Marie Perret.
Revue Verso en écho à la revue d’Alain Wexler.
Traversées : Littérature, poésie & Cie.
Sitaudis : A la pointe de la poésie contemporaine, mais pas seulement.
Poésie Maintenant : une anthologie permanente de poètes d’aujourd’hui, par Pierre Maubé.
11 44 11, le blog de Pierre Anselmet.
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Les portes de la perception - Le blog poétique de Murièle Camac
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Biloba - Jean-Claude Touzeil.
Mots sous l’aube - journal poétique de Anna Jouy.
P/oésie, le blog d’Alain Freixe : La poésie et ses entours.
Le Tréponème bleu pâle de Léon Cobra.
Ce qui reste, anthologie poétique de Vincent Motard-Avargues
Commentaires
27 septembre 2018, 11:18, par Brigitte Maillard
Je ne crierai pas au scandale à la lecture de votre article, j’invite simplement vos lecteurs à découvrir eux-mêmes ce travail. Juste quelques réflexions : On est en guerre ? Je pose cette question car à vous lire je me demande bien qui je suis, qui est cette revue Reflets et qui sont ses collaborateurs. Pourquoi ne pas m’avoir contactée afin que je puisse, au moins, répondre à certaines de vos interrogations ? Vous n’êtes pas d’accord, très bien, il y a un fond religieux qui vous fait bondir, très bien ; tout cela est compréhensible. Mais les attaques personnelles, par la voie du dénigrement, le sont moins. « Maltraitance de la petite sœur » dites-vous ? J’ai vécu toute ma carrière auprès de l’enfance maltraitée, je connais la profondeur de ce mot de maltraitance. Ce mot ne peut s’accorder dans ce contexte. Ce dossier et ses différents collaborateurs méritent au moins qu’on les respecte.
27 septembre 2018, 16:32, par Jean LAVOUE
Quelle méchanceté gratuite dans cet élitisme de la pensée : l’engagement d’une vraie bataille idéologique, sans motif autre que l’intransigeance et l’intolérance de l’auteur de ce billet. Comment la poésie peut-elle être l’élément déclencheur d’une telle agression ? Il s’agit, semble-t-il, pour ce critique de rien de moins que d’opposer le primat de l’homme, dont la poésie serait l’expression ultime jusqu’en sa part d’indicible, à ce qui relèverait de la foi auxquels certains ont bien sûr le tort et la naïveté d’encore se référer. Comme si ce n’était pas trop simple, voire simpliste, d’opposer ainsi les deux. Sauf à considérer l’illégitimité de tout ce qui se réfère à une quelconque dimension spirituelle, ce que s’emploie à mettre, au contraire, en valeur la revue Reflets. Auquel cas, c’est certain, le débat est clos concernant ce dossier. Mais pourquoi alors consacrer cette énergie, même minime, à en rendre compte, juste pour disqualifier et détruire ce qui n’a pas de raison d’être à vos yeux ? Je comprends l’émotion de Brigitte Maillard exprimée dans le message précédent, et lui apporte toute mon estime et mon soutien.
27 septembre 2018, 18:02, par Jean-Luc Pouliquen
« Il y a une grande tristesse à ne pas voir le bien dans le bien » écrivait Nicolas Gogol. J’apporte tout mon soutien à Brigitte Maillard et Christian Roesch, personnes de paix et de bien, qui ne méritent pas ces paroles injustes et si mal intentionnées.
28 septembre 2018, 07:18, par Orient Jeanne
Quand la magnifique revue poésie Décharge « charge » Brigitte Maillard !
Que vous n’aimiez pas ce que Brigitte Maillard écrit est votre droit Claude Vercey. Que vous n’aimiez pas sa façon d’écrire et de dire sa spiritualité est votre droit également bien sûr.
Que vous l’attaquiez sur le fait qu’elle s’autoédite, n’est pas votre droit. C’est une insulte à tous les auteurs qui s’autoéditent.
Tous les auteurs n’ont pas la chance et le « confort » d’une revue comme celle où vous « oeuvrez ». Et l’autoédition est une grande prise de risque et c’est un acte très courageux…
Mais peut-être ajouter, puisque vous semblez l’ignorer, Brigitte Maillard a été éditée par des maisons d’édition connues pour la qualité de leur choix d’auteurs. Brigitte Maillard si elle s’est autoéditée, a également édité une grande poétesse récompensée par l’Académie Française. Elle a édité d’autres personnes également.
Nous sommes nombreux à ne pas comprendre. Même si nous serons rares à oser le dire publiquement. Vous êtes dans une revue qui a « cité » et tant de personnes ne souhaitent pas vous déplaire…c’est dire le dilemme !
Vous parlez de maltraitance ? Combien vous en avez usé à l’encontre de Brigitte Maillard...
Jeanne Orient
28 septembre 2018, 10:23, par Christian ROESCH
Monsieur Vercey,
Vous avez le droit de réfuter le rapprochement de la poésie et de la vie spirituelle.
Vous avez le droit de ne pas aimer Brigitte Maillard .
Vous avez le droit m^me de dénigrer la revue REFLETS.
Vous avez le droit d’avoir un point de vue différent.
Mais je suis attristé de vos attaques contre Brigitte Maillard.
Quel mal a t-elle fait ?
Un des intérets de la vie spirituelle est la distinction du bien et du mal.
Le bien élève. Le mal abaisse.
La recherche de la paix honore.
Christian Roesch, directeur de publication de la revue REFLETS
28 septembre 2018, 12:20, par Emily Martin
N’ayant pas lu la revue Reflets, mon commentaire ne porte pas sur les qualités ou les défauts du dossier, mais simplement sur le rôle du critique. Qu’attendons-nous de lui ? D’après les interventions précédentes, il semblerait que son rôle doive se cantonner à celui d’un publicitaire. Le monde d’aujourd’hui, et notamment Internet, cherche à nous enfermer chacune et chacun dans une « bulle de filtres ». Ce terme n’est pas de moi et c’est un phénomène désormais documenté et étudié. Concrètement, cela signifie que nous sommes « dirigés » vers des opinions qui valident les nôtres, nous condamnant, sans intervention volontaire de notre part, à un isolement intellectuel des plus mortifères. Le rôle du critique n’échappe pas à cette nouvelle donne et il semble que ce qu’on attende de lui désormais, c’est bien une tiédeur consensuelle qui ne froisse personne. On peut ne pas être d’accord avec Claude Vercey mais on peut lui reconnaître de préserver l’esprit de liberté associé depuis toujours au critique littéraire. Ou alors faut-il écrire systématiquement que tout va bien dans « le meilleur des mondes » ? Sans ombre, il n’y aurait pas de lumière...
29 septembre 2018, 17:42, par Guy Allix
Claude, certes la véritable critique ne saurait être complaisance. Il est bon de déboulonner d’encombrantes statues. Mais la vraie critique n’est pas non plus synonyme d’aigreur ou de guérilla… Et puis je ne sache pas que B. Maillard soit, pour toi du moins, une « statue » puisque tu ajoutes, avec une inélégante ironie, que la poète est auto-éditée (de fait si elle le fut elle a été éditée aussi par de vrais éditeurs). Ainsi tu ne t’attaques pas là, selon ton critère, à une statue mais à quelqu’un que tu considères visiblement comme une poète insignifiante : ce qui manque de noblesse et ne te fait pas courir grand risque (mais nombre de ces poètes sans importance de leur vivant ont été reconnus par la suite et les critiques qui les avaient éreintés ont disparu des radars...). Ainsi ta critique sans complaisance se fait finalement à peu de frais. Il me semble que pour être au moins un peu objective la critique, même en dénonçant tel texte, telle œuvre, tel article, tel dossier (comme ici), se doit aussi d’être un peu humble. Or ta critique fait étalage de la grande suffisance de celui qui croit savoir et assène ses certitudes comme des coups de massue. Elle n’est ainsi guère constructive. Nous n’attendons certes pas que le critique soit un « publicitaire » mais nous n’avons pas besoin de cette aigreur qui n’est en rien inspirée par un véritable esprit critique. Le chevalier blanc manque singulièrement de noblesse ici.
1er octobre 2018, 19:49, par Christian Saint-Paul
C’est blessant et parfaitement inutile. Il faut s’attacher à faire connaître les livres de poésie qui ne cessent de paraître et dont beaucoup sont de qualité, et surtout ne pas verser dans la polémique meurtrière, de plus quand on ne connaît pas les personnes mises en cause, leurs vrais mérites.
Tant de lignes qui auraient pu être employées à autre chose. Ce que je ne comprends pas ou ne partage pas, je le laisse au silence. Car je peux me tromper, être dupe de moi-même. Celui qui ne doute pas me fait peur.
Et ce méchant article me fait peur.
Retenir sa parole quand elle peut détruire l’autre, est une belle chose.
La poésie n’a pas besoin de cette violence , elle en sort toute diminuée.
Je dis toute ma compassion à Brigitte Maillard.